Accident à hauteur du passage à niveau de Colobane Rufisque
Vraiment il existe des médicaments efficaces. Ce matin j’ai
quitté le centre de santé de Bargny avec toutes les peines du monde pour aller
à Rufisque. Pas question d’écrire une ligne d’information, car la seule que je
détenais était : Cassis est malade. Je m’étais même interdit d’allumer mon ordinateur, repos
forcé. Mais me voilà en face d’un drame à hauteur du passage à Niveau situé à
Colobane Gouye Mouride, un quartier de Rufisque traversé par le chemin de fer. Immatriculé
DK 3523 AF, ce bus Tata tranquillement couché sur le coté gauche à été percuté
et projeté hors piste par un train qui roulait en arrière.
Taff j’oublie mes maux dés que j’ai balancé mon premier Tweet avec les hasthags #kebetu et #msgusn. Appareil numérique en bandoulière et enregistreur à la main, un gamin me balance « grand, le chauffeur a fui à la seconde qui suit l’accident ». Et ma première question évidement c’était pourquoi a-t-il fui ? « Au lieu de s’arrêter quand il est arrivé à hauteur du passage à niveau, il ne se rendait même pas compte qu’il roulait à vive allure. Parce que tout simplement, il était au téléphone. C’est irresponsable de sa part » nous explique une femme, qui accuse à tortles
chauffards, non autant pour moi je
voulais dire les chauffeurs de TATA. Pour elle « Les chauffeurs de
Tata se croient au rallye. Ils roulent comme ils veulent sans se soucier du
passage à Niveau. Ils traversent
toujours à vive allure. Et la plupart du temps ce sont des bus surchargés ».
Heureusement cette fois ci, les secouristes sont venus à temps pour évacuer les
20 blessés vers l’hôpital Youssou Mbargane de Rufisque. De toute façon, les propositions à la sénégalaise
n’y manquaient pas. « On doit mettre des panneaux sonores » par
ci, « on doit construire des dos d’âne » par là. Bah de toute façon,
ceci est un avertissement. Non seulement, les TATAS ce sont des « bateau
Le Diola » en dormation, mais les chauffards doivent subir
des cours de renforcement en code de la
route. Wassalam !
Taff j’oublie mes maux dés que j’ai balancé mon premier Tweet avec les hasthags #kebetu et #msgusn. Appareil numérique en bandoulière et enregistreur à la main, un gamin me balance « grand, le chauffeur a fui à la seconde qui suit l’accident ». Et ma première question évidement c’était pourquoi a-t-il fui ? « Au lieu de s’arrêter quand il est arrivé à hauteur du passage à niveau, il ne se rendait même pas compte qu’il roulait à vive allure. Parce que tout simplement, il était au téléphone. C’est irresponsable de sa part » nous explique une femme, qui accuse à tort
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