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samedi 10 août 2013

Des orientations envisageables pour un véritable développement culturel au Sénégal.

CONTRIBUTION



Des présidents qui se sont succédé à la tête de l’Etat sénégalais, seul Senghor semble avoir véritablement mis en place une politique de développement culturel. Celle-ci reposait sur le diptyque « enracinement » (dans les valeurs traditionnelles ancestrales)  et « ouverture » (au dialogue fécond du monde). Senghor considérait la culture comme la source qui doit inspirer individuellement et collectivement la pensée et l’action des sénégalais. Il avait mis en œuvre des stratégies qui s’articulaient autour de la diplomatie culturelle (la culture, pilier central de notre diplomatie), la création d’institutions (Ministère de la Culture en 1966, etc.), la formation des ressources humaines, la construction d’édifices culturels (musée dynamique, théâtre Sorano, …), du « mécénat d’Etat » (patrimoine privé artistique de l’Etat), de la décoration des bâtiments publics (loi du 1%), de l’aide aux artistes (Fonds d’aide aux artistes et au développement de la culture, etc.).

jeudi 22 novembre 2012

FESTIVAL BARGNY RYTHMES SUR MER 8ème édition, du 17 au 23 décembre 2012


COMMUNIQUE


Le Comité d’organisation du Festival Bargny Rythmes sur Mer organise, du 19 au 21 décembre 2012 à Bargny, des ateliers autour des thèmes :

-         Droit d’auteurs,
-         Administration culturelle,
-         Régie de spectacle,
-         Financement de la culture
-         Montage et gestion de projets culturels.

Ces ateliers visent le renforcement des capacités des acteurs culturels de Bargny, Rufisque, Yenne, Diamniadio : artistes, associations d’artistes, promoteurs, organisateurs, producteurs, techniciens de spectacles.



Pour s’inscrire, envoyer son CV à l’adresse électronique ci-dessous :
fest_barythmes_surmer@hotmail.fr


NB : Clôture des envois : dimanche 09 décembre 2012



Le Comité d’organisation





jeudi 26 janvier 2012

DJ Afrika,une fierté pour le hip hop Africain en Europe.

A  plus de 40 ans , DJ Afrika continue de mener son combat pour la promotion du hip hop Africain en Europe et partout dans le monde. Redorer le blason de cet art mature et peu valorisé en Europe reste son principal combat, et dont la mise en œuvre nécessite beaucoup de sacrifices. C'est à partir de sa Vitoria, ville d'Espagne que cette animatrice qu'on ne présente plus nous régale tous les soirs avec son émission de Hip hop Africain sur Radio Stone'sUne émission qui s'écoute partout dans le monde grâce à internet et via streaming. Mais la promotion ne s’arrête pas à la radio.Afrika Dramé est l'administratrice du célèbre blog Afrihooop.blogspot.com. Un blog très riche et dans lequel on retrouve des interviews avec des artistes Africains, et particulièrement des hip hopeurs.C'est à l'age de 19 ans que DJ Afrika est tombé sous le charme de cette culture  hip hop car étant passionnée de break et de beat street. Mar Dramé est à l'image de son nom "Mar" qui veut dire la mer . Une femme disponible et ouverte qui passe tout son temps à promouvoir ce hip hop Africain. Sa préoccupation pour les autres  prend presque tout son temps. Ceux qui sont sur le réseau social Facebook ne diront pas le contraire. Afrika  passe de groupe en groupe, de page en page et toujours pour un seul et unique but, le Hip hop. Cette DJ  qu'on surnomme Reine d’Afrique à Radio Stone's a concrétisé le rêve de beaucoup d'artistes en Afrique.  Du Sénégal à l'Afrique du Sud, en passant par le Gabon, le Ghana et le Nigeria, DJ Afrika a participé a la promotion et à la production de nombreux talents cachés. Cette femme de culture qui rêve de  faire le tour du monde pour la découverte de nouvelles mélodies kiffe bien le rap Swahili et le rap des ghettos Guinéens. Mais aussi le Rap Galsen qu'elle a découverte il y a 5 ans. Bref , cette DJ talentueuse fait aujourd'hui la fierté de toute une jeunesse Hip Hop dont elle ne cesse d'apporter son soutien.

jeudi 11 août 2011

Gaal gui de Bargny, en route vers la mer d’Oscar.


Gaal gui de Bargny, en route vers la mer d’Oscar.
Il est une heure du matin à la maison de la femme de Bargny. A cette heure tardive toute la ville est  calme excepté cet endroit qui bonde de monde. Contrairement à certains qui choisissent ce moment pour dormir après une journée de jeun, ils passent des nuits entières sous la belle étoile. Ils ce sont  les danseurs de la troupe Gaal Gui de Bargny qui doivent concourir cette année à Oscar des vacances.

mercredi 22 juin 2011

Dé( fête ) de la musique à Bargny.

21 juin, une date très importante pour les mélomanes mais aussi pour les musiciens. C'est la fête de la musique.Cette année au moment où la musique se célèbre partout, Bargny est resté sans sons ni lumières, avec le grand nombre d'artistes qu'il regorge.C'est vraiment Naz,nulle à chier ma ville.

mardi 21 juin 2011

TRADIFEST 2: Rufisque visite la tradition.


TRADIFEST 2
Après la première édition du festival qui s’est déroulée en juin 2009, Rufisque s’apprête à vivre  d’importants moments d’échanges et de communions entre musiciens  d’horizon divers. Cette seconde édition du festival de musiques traditionnelles et les rencontres hispano-sénégalaises qui aura lieu du 21au 26 juin 2011au Centre Culturel Maurice Gueye verra la participation de grands noms de la musique traditionnelle sénégalaise tels que 

lundi 23 mai 2011

Groupe Kër Gi de Bargny au Sommet Inde – Afrique, prévu à Addis Abeba (Ethiopie).

Un communique de presse qui va surement faire la fierté des Bargnois.

Sur invitation de l’Ambassade de l’Inde au Sénégal, le Groupe Kër Gi, originaire de la Commune de Bargny va se produire sur scène, à l’occasion du Sommet Inde Afrique qui aura lieu du 20 au 25 mai 2011 à Addis Abeba en Ethiopie.

mardi 26 avril 2011

Teenu Zam Zam from Bargny "World Doctors"

Teenu Zam Zam est un groupe de rap base a Bargny/DAKAR/SÉNÉGAL. 
Ce groupe composé de trois membres actifs en compte aussi plusieurs autres tapis dans l'ombre. Le monde est malade alors les membres du groupe se considèrent comme des médecins du monde et comptent le soigner avec les mélodies de leur chansons. Teenu ZamZam n'a que les rimes comme arsenal dans ce combat âpre mené contre l'injustice , la misère , les maladies, et toutes les viles choses que terre mère renferme.

samedi 2 avril 2011

Mandel'art L'artiste Plein



Artiste peintre sénégalais, d’origine vietnamienne,  El Hadji Moussé Diouf plus connu sous le nom de Mandela, vit pleinement son art,  la peinture. Âgé de 23 ans, ce jeune lebou  d’adoption est aujourd’hui un véritable ambassadeur de cette communauté  de pêcheur wolof.

 « Mon père est d’origine vietnamienne et ma mére est leboue de Bargny.  Mon nom Moussé Diouf me vient de mon grand père maternel. Un ancien dignitaire de la commune de Bargny. » explique l’artiste. En effet c’est dans le quartier  Njolmane de Bargny, commune de la banlieue Dakaroise, que Mandela s’est découvert une passion pour la peinture, il y a de cela plusieurs années, alors qu’il était encore enfant.  Il s’exprime aussi bien dans le figuratif que dans l’art abstrait mais avec une préférence dans les tableaux  portraits, surtout ceux d’hommes religieux sénégalais. « Je suis musulman et vous savez, les hommes religieux sénégalais, que je dessine les portraits ont toujours été des modèles de vertu pour moi. C’est aussi une façon de communiquer avec mon peuple, car au Sénégal l’appartenance confrérique occupe une grande place dans la vie des gens. »  Explique t-il.   Ses influences dans la peinture viennent de grands artistes sénégalais à l’instar de Mbaye Diop, l’un des peintres sénégalais les plus connus à travers le monde, et Doudou André Ndiaye, autre artiste peintre très connu dans la commune de Bargny pour avoir formé toute une génération d’artistes bargnois Même si l’artiste fait beaucoup de portraits, on trouve souvent dans ses œuvres un message caché. Ses influences ancestrales fruit de son métissage se retrouvent dans son art où l’on est déconcerté par les styles différents que le peintre nous donne à voir. « J’essaye de rendre mes œuvres universelles à travers ma peinture, car pour moi, l’art est un moyen de communication transversale et qui concerne tout les peuples du monde ».
C’est en 2008, que le jeune artiste, Mandela, décide de se professionnaliser et de mettre un terme à de longues années d’amateurisme. Le jeune homme, ne se satisfait plus de simples tableaux brossés à l’aide d’une inspiration fugace. Il rêve d’intégrer une école d’art plastique. Son rêve sera vite réalisé avec l’aide de certaine bonne volonté. Cette même année Mandela, intègre l’ENA (l’école nationale des beaux arts de Dakar). Sa formation durera deux ans avant d’en sortir avec un diplôme de qualification en art plastique. Invité à plusieurs expositions un peu partout au Sénégal, le jeune artiste garde un souvenir bien particulier de la Biennale des arts de Dakar 2010. Sa commune, Bargny a abrité pour la première fois une exposition OFF de cette grande messe de l’art plastique africain. Comme beaucoup de jeunes artistes peintres sénégalais, Mandela rêve un jour de participer à une exposition internationale hors du Sénégal, à fin de montrer à la face du monde sa culture leboue qu’il porte dans le cœur. En attendant de toucher les étoiles, Mandela gère avec l’aide de certains amis, sa gallérie baptisée Soweto. Un nom qui exprime tout un attachement à la nation arc en ciel, l’Afrique du Sud.             

ALEANDRE GUBERT LETTE



vendredi 1 avril 2011

QUI SE CACHE DERRIERE YOUZA ?

"YOUZA", la nouvelle danse qui fait bouger la plupart des Sénégalais commence à sortir hors de nos frontières. Même les petits enfants savent soulever leurs bras pour l'exécuter. Mais malgré son cachet populaire, nombreux sont ceux qui ignorent l'origine de cette danse.

vendredi 25 mars 2011

Lébou et Ndakarou c'est depuis le 18ieme siècle.


"Dare Salam"qui signifie asile de paix c'est une expression empruntée à la langue Arabe. Traduit en Wolof , ça donne "Deuk Raw" qui devient par déformation "ndakarou".Ce joli nom est à son tour mal prononcé par l'homme blanc qui va l'appeler Dakar.