Depuis quelques temps je blogue sur Bargny, ma ville natale, afin de faire connaître à la face du monde cette localité. Cette ville située a l’entrée de Dakar souffre de sa violence structurelle. Bargny n’a plus d’espace pour les jeunes. Organiser une manifestation dans cette localité devient la mer à boire, je vous le jure. Les autorités municipales ne diront pas le contraire.
jeudi 28 avril 2011
mardi 26 avril 2011
Teenu Zam Zam from Bargny "World Doctors"
Teenu Zam Zam est un groupe de rap base a Bargny/DAKAR/SÉNÉGAL.
Ce groupe composé de trois membres actifs en compte aussi plusieurs autres tapis dans l'ombre. Le monde est malade alors les membres du groupe se considèrent comme des médecins du monde et comptent le soigner avec les mélodies de leur chansons. Teenu ZamZam n'a que les rimes comme arsenal dans ce combat âpre mené contre l'injustice , la misère , les maladies, et toutes les viles choses que terre mère renferme.
Ce groupe composé de trois membres actifs en compte aussi plusieurs autres tapis dans l'ombre. Le monde est malade alors les membres du groupe se considèrent comme des médecins du monde et comptent le soigner avec les mélodies de leur chansons. Teenu ZamZam n'a que les rimes comme arsenal dans ce combat âpre mené contre l'injustice , la misère , les maladies, et toutes les viles choses que terre mère renferme.
jeudi 14 avril 2011
mercredi 13 avril 2011
Bargny: Est ce que le Garage Castors a sa raison d'etre ?
A l’entrée de la ville de Bargny et plus précisément au niveau du poste de courant, un tas de taxis campe le décor. Ici c’est le nouveau garage taxi-clando de Bargny communément appelé « Garage Castors ».Cet endroit est fréquenté par plusieurs couches de la population. A coté des chauffeurs, nombreux sont les laveurs de voitures et marchants qui développent leur petit commerce dans ce dit garage. La grande question est pourquoi certains chauffeurs de taxi-clandos ont installé leur quartier à l’entrée de Bargny.
vendredi 8 avril 2011
Wade n'a-t il pas divisé Bargny pour mieux regner?
samedi 2 avril 2011
Mandel'art L'artiste Plein
Artiste peintre sénégalais, d’origine vietnamienne, El Hadji Moussé Diouf plus connu sous le nom de Mandela, vit pleinement son art, la peinture. Âgé de 23 ans, ce jeune lebou d’adoption est aujourd’hui un véritable ambassadeur de cette communauté de pêcheur wolof.
« Mon père est d’origine vietnamienne et ma mére est leboue de Bargny. Mon nom Moussé Diouf me vient de mon grand père maternel. Un ancien dignitaire de la commune de Bargny. » explique l’artiste. En effet c’est dans le quartier Njolmane de Bargny, commune de la banlieue Dakaroise, que Mandela s’est découvert une passion pour la peinture, il y a de cela plusieurs années, alors qu’il était encore enfant. Il s’exprime aussi bien dans le figuratif que dans l’art abstrait mais avec une préférence dans les tableaux portraits, surtout ceux d’hommes religieux sénégalais. « Je suis musulman et vous savez, les hommes religieux sénégalais, que je dessine les portraits ont toujours été des modèles de vertu pour moi. C’est aussi une façon de communiquer avec mon peuple, car au Sénégal l’appartenance confrérique occupe une grande place dans la vie des gens. » Explique t-il. Ses influences dans la peinture viennent de grands artistes sénégalais à l’instar de Mbaye Diop, l’un des peintres sénégalais les plus connus à travers le monde, et Doudou André Ndiaye, autre artiste peintre très connu dans la commune de Bargny pour avoir formé toute une génération d’artistes bargnois Même si l’artiste fait beaucoup de portraits, on trouve souvent dans ses œuvres un message caché. Ses influences ancestrales fruit de son métissage se retrouvent dans son art où l’on est déconcerté par les styles différents que le peintre nous donne à voir. « J’essaye de rendre mes œuvres universelles à travers ma peinture, car pour moi, l’art est un moyen de communication transversale et qui concerne tout les peuples du monde ».
C’est en 2008, que le jeune artiste, Mandela, décide de se professionnaliser et de mettre un terme à de longues années d’amateurisme. Le jeune homme, ne se satisfait plus de simples tableaux brossés à l’aide d’une inspiration fugace. Il rêve d’intégrer une école d’art plastique. Son rêve sera vite réalisé avec l’aide de certaine bonne volonté. Cette même année Mandela, intègre l’ENA (l’école nationale des beaux arts de Dakar). Sa formation durera deux ans avant d’en sortir avec un diplôme de qualification en art plastique. Invité à plusieurs expositions un peu partout au Sénégal, le jeune artiste garde un souvenir bien particulier de la Biennale des arts de Dakar 2010. Sa commune, Bargny a abrité pour la première fois une exposition OFF de cette grande messe de l’art plastique africain. Comme beaucoup de jeunes artistes peintres sénégalais, Mandela rêve un jour de participer à une exposition internationale hors du Sénégal, à fin de montrer à la face du monde sa culture leboue qu’il porte dans le cœur. En attendant de toucher les étoiles, Mandela gère avec l’aide de certains amis, sa gallérie baptisée Soweto. Un nom qui exprime tout un attachement à la nation arc en ciel, l’Afrique du Sud.
ALEANDRE GUBERT LETTE
vendredi 1 avril 2011
QUI SE CACHE DERRIERE YOUZA ?
"YOUZA", la nouvelle danse qui fait bouger la plupart des Sénégalais commence à sortir hors de nos frontières. Même les petits enfants savent soulever leurs bras pour l'exécuter. Mais malgré son cachet populaire, nombreux sont ceux qui ignorent l'origine de cette danse.
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