lundi 26 mars 2012

Mar Diouf sur les pas de Abdoulaye Wade ( Episode 1)

                        


Bargnysurlenet a fouillé dans la tête des Bargnois pour vous présenter le film qui doit réveiller Salamba Yayi Mbaye Jinn. Même si c'est pas l'esprit Y en a marre,on sait bien que y'en Mar Diouf à Bargny.

QUAND EST-CE QUE SONNERONT LES MATINES A BARGNY ?

Le 22 Mars 2009, Bargny, à l’instar de beaucoup de collectivités locales du Sénégal avait sanctionné listes de la coalition Sopi 2009 au profit de celles de la plus grande coalition de l’opposition : la coalition Benno Siggil Sénégaal, consacrant une nouvelle fois Monsieur M. DIOUF à la tête de notre municipalité.



 En effet depuis 1990, où Bargny est devenu commune de plein exercice ; nous n’avons 
 connu qu’un seul locataire de l’un des plus beaux bâtiments de notre ville. Vous vous rappelez 
 que s’il ne l’a pas été officiellement vers la fin des années 90, sa main invisible n’a jamais 
 quitté la gestion de notre commune.

       Il fallait donc choisir entre le prestige personnel : qu’était être le Premier Président du 
      Conseil Régional de Dakar, et Questeur à l’Assemblée Nationale, ou de remplir la noble mission 
      de mener à bien les destinées de notre chère ville.

       Malheureusement, à cette époque, malgré son choix porté sur son prestige personnel, il lui 
       fallait mettre un homme sur qui compter pour lui faciliter son retour parce que sachant 
       jusqu’où allaient ses aptitudes. C’est ainsi que Monsieur M. T. NDOYE, un illustre fils de 
       la terre de Mame Daouda NDOYE (Paix à son âme), payait les frais d’un calcul politique 
       aux intérêts purement personnels. Un NDOYE pouvant en cacher un autre, E Hj Th NDOYE 
       était pour Mar l’homme de la situation, parce n’ayant aucune autre ambition politique. 

       La Transicion n’étant jamais chose facile, j’ai le profond regret de vous rappeler qu’à 
       cette période, Bargny a vécu les moments les plus sombres de son histoire :

    Electricité et eau avaient fermé boutique dans tous les édifices publics et lieux de culte 
   (salle des fêtes, théâtre de verdure, grandes mosquées...)

   La SOCOCIM passée définitivement dans le périmètre communalde Rufisque, alors que point 
   n’est besoin de vous dire que cette usine est belle et bien implantée sur les terres de 
   LENDENG donc de Bargny.  Naturellement la patente revenait ainsi, entièrement à la
   ville de Rufisque malgré tous les dégâts que nous avons subis et subissons encore.

   Arrêt de cursus scolaire  pour beaucoup de jeunes bargnois à cause d’une éducation et 
   d’une formation entrecoupées faute de l’arrêt de la prise en charge du Conseil Régional de 
   Dakar que dirigeait Mar. La privation du financement d’un lycée moderne obtenu et construit 
   à Rufisque (malgré l’existence du Lycée Abdoulaye SADJI du Collège Ousmane Socé DIOP, 
   du Collège Mansour SY) au détriment des fils de Bargny qui souffraient encore de la 
   navette Bargny/Rufisque.

                                                                   A suivre...


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